Le lundi des contrariétés

J'ai bien fait de profiter de mon ouikend glandouille, car aujourd'hui, j'ai accumulé les contrariétés...

• ça a commencé à midi. Alors que je rentrais d'une réunion, ma pitite collègue me dit : "Alain te cherchait partout pour aller déjeuner, alors il est parti tout seul au restaurant d'entreprise". Ne voulant pas laisser mon collègue de repas tout seul, je file le rejoindre. J'arrive au self... Pas d'Alain ! Finalement, c'est moi qui ai déjeuné toute seule. Bon, elles étaient très bonnes ces moules marinières, mais elles auraient été meilleures si j'avais été accompagnée !
• en rentrant à la maison, ce soir, j'apprends que Choup s'est fait très mal à cause de planches que son père avait laissées dans le passage dans le sous-sol (et j'avais déjà signalé le danger). Maintenant, il s'en prend à sa fille !
• en rentrant du foot où j'ai accompagné Nicou (oui, cette année, Nicou fait du foot avec son prof de sport de l'IME, et ça lui plait beaucoup), je me bats avec l'ordinateur qui se bloque alors que je tentais d'imprimer une photo d'identité pour la licence de foot de Nicou justement
• le constructeur de notre maison de Corrèze a perdu le nord. Il m'envoie un mail où l'orientation est complètement fausse. J'ai peur que cela ne décale notre dépos de permis de construire
• Balotin me téléphone pour me dire qu'il ne pourrait pas aller chercher Nicou au foot. Je me retape 40 mn de trajet pour récupérer l'animal
• En chemin, à la radio j'apprends le décès de Guillaume Depardieu. J'avais bien aimé son livre Tout donner où il racontait son mal être.
• En rentrant, la table n'est pas mise et la Choup est d'une humeur massacrante
• Balotin rentre comme une fleur à 21 heures... et repart au tennis !