mercredi 12 avril 2017

La palmeraie et la place Jemaa El-Fna


 


Nous retournons à l’hôtel, et après une petite sieste au bord de la piscine, Clémence, Nicolas et moi suivons un cours d’aquagym avec une coach pas commode qui nous crie : « Allez les fainéants ! ». Puis je prends un cours de danse orientale avec la même prof… Pendant ce temps, Fabrice fait du vélo dans la salle de gym et Lulu se fait bronzer au bord de la piscine.
Le soir, nous reprenons notre voiture pour aller à la Palmeraie. 

La Palmeraie de Marrakech compte plus de 100 000 arbres, principalement des palmiers, sur environ 15 000 hectares ainsi qu'une production de dattes et un potager. Elle représente un patrimoine naturel et touristique au Maroc car elle est à la fois constituée d'une nature exorbitante et d'un urbanisme ultramoderne.
L'histoire de cette dernière débuta au cours du 12ème siècle lorsque la dynastie des Almoravides pénétra dans Marrackech. Ces souverains berbères créèrent la palmeraie de Marrakech, à quelques kilomètres de la ville. A cette époque, certaines espèces de palmiers étaient vénérées, en tant que symbole de la vie et de la fécondité. Les cultures étaient nombreuses et la densité d'arbres permettait de se prémunir de la chaleur.
De nos jours, la palmeraie représente la victoire de l'homme sur la nature. En effet, la population marocaine a su au fil du temps apprivoiser le milieu désertique et a imposé son existence dans des espaces où la nature régnait en maître.


Nous sommes attendus par des éleveurs de dromadaires qui proposent des promenades. Les filles se laissent tenter. 



 Nicolas se contentera de caresser un bébé dromadaire de 20 jours :




 Entre Lulu et le dromadaire est née une belle histoire d'amour !



Puis nous retournons voir la place Jemaa El-Fna, car il paraît que c’est le soir qu’il faut s’y imprégner !
Mais avant, nous cherchons une place de parking. C’est très forlklorique les parkings au Maroc : tu colles ta voiture aux autres, tu enlèves le frein à main, tu la mets au point mort. Ils mettent des petites cales. Ainsi, on peut la pousser en ton absence pour la bouger.


Nous arrivons de l’autre côté de la Koutoubia.


A côté, il y a de drôles de palmiers (comme certains sapins chez nous, ce sont des antennes téléphoniques)

 

Nous arrivons sur la fameuse place, et c'est vrai qu'à cette heure ci c'est la folie !
Il y a des charmeurs de serpents, des percussionnistes, des chanteurs…

 





Nous dégustons une bonne glace, achetons quelques cartes postales, puis Nicolas et Fabrice veulent rentrer (c’est l’heure de la soupe). Puis Clémence aussi, pas rassurée du tout par les serpents ! Nous les suivons de peu. A un moment, on entend l’appel à la prière (le seul que nous entendrons de tout notre séjour) et d’un seul coup, tous les tam tams et toutes les musiques s’arrêtent. Reste le bouhaha de la foule.

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