vendredi 22 avril 2011

Joyeuses Pâques !

Les cloches sont passées à mon bureau !

Déjà, les pâquerettes avaient bien poussé. Je les ai bien entretenues, n'est-ce pas, Valérie ? (Valérie, c'est ma collègue qui m'a légué ce petit carré de pelouse en quittant la société...).


Ben oui, on a repris le travail, après une petite semaine passée en Corrèze à bricoler (moi je vous le dis, ce ne sont plus des vacances quand on a une résidence secondaire ! si j'aurais su...)

J'ai d'ailleurs dû prendre mon mercredi cette semaine, pour m'en remettre. M'enfin je n'ai pas arrêté non plus ce mercredi.

J'ai d'abord déposé Lulu à l'aube à son stage d'équitation que la famille lui a offert pour ses 16 ans.

Puis je suis allée en courses, où j'ai fait le plein d'oeufs et de cloches de Pâques... Oui, le plein : la caissière m'a demandé si c'était pour une association... Non ! Famille nombreuse !

Ensuite, j'ai enfin trouvé des rideaux pour ma cuisine de Corrèze où les fenêtres ont une largeur non standard : 63 et 73 cm ! J'ai donc opté pour des brise-bises de fainéant (ya qu'à découper : j'ai voulu faire croire à Balotin que j'avais moi-même cousu les lisérés, il ne m'a pas crue !). Très beaux mes rideaux, avec des coquelicots rouge foncé, vous les verrez bientôt sur le site de la maison !

Après, je suis allée chez Décathlon-à-fond-la-forme (PUB ! tu crois qu'ils vont me donner des sous ?) pour acheter des chaussettes à Lulu et des guètres pour le cheval (et non le contraire). J'en ai profité pour rhabiller mon écuyère dont le pantalon rétrécit à vue d'oeil à force d'utiliser le sèche-linge.

Enfin, je suis allée chez IKEA... Enfin, je me suis encore perdue chez IKEA ! Je n'y vais pas assez souvent dans ce magasin, alors je n'en comprends pas bien le fonctionnement. Je voulais juste des poubelles pour faire du tri sélectif dans ma maison de Corrèze. J'ai trouvé, mais ce fut dur ! Une fois le premier labyrinthe passé, j'arrive à trouver la poubelle exposée parmi toutes les cuisines, toute seule, car les vendeurs en jaune étaient accaparés par d'immenses files de clients qui attendaient patiemment leur tour aux différentes bornes. Mes poubelles trouvées, enfin, le code des poubelles trouvées, il me restait à trouver le "libre services meubles". Je trouve enfin la sortie du premier labyrinthe et me voilà au rez-de chaussée pour entamer le deuxième labyrinthe. Il y a plein de gamelles à disposition entassées ça et là, je me dis : "ce doit être ici, le libre service meubles". Que nenni, heureusement, je trouve une vendeuse jaune pas accaparée qui m'oriente et au bout du nième méandre, j'arrive dans un immense entrepôt de 20 mètres de haut. C'est ça, le libre service meubles... Pourvu que ma poubelle ne soit pas stockée tout là haut, je fais comment pour escalader tout ça ? Au bout d'un quart d'heure de recherches, je trouve enfin mon code et j'embarque mes poubelles. Et même pour payer, je suis désorientée : je voulais faire la queue à une caisse, tranquillou ! Non non ! Une vendeuse m'interpelle et me demande si je paye par carte. Comme j'ai dit oui, elle m'attire dans son carré, et avec son pistolet lecteur de codes, elle passe mes poubelles en revue et me dit d'appuyer sur un écran pour payer quand je serai prête et elle me laisse en plan.
Pas le temps de dire ouf, me voilà sortie (elle est où la sortie, ah, après les restaurants !).

Y sont bizarres ces Suédois !

Joyeuses Pâques à tous (même aux Suédois) !

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