jeudi 30 septembre 2010

Mon nom est personne

Les plaques minéralogiques des voitures américaines sont remarquables et font d'ailleurs l'objet de détournements pour faire des petits souvenirs personalisés.

En fonction de l'état, elles ont un ou plusieurs modèles, comme des fonds d'écrans. Certains sont très jolis. Pour l'Arizona, par exemple, il y a des mains de toutes les couleurs ou un paysage de désert avec des cactus. Pour la Californie, je n'ai trouvé qu'un seul modèle : le blanc.
Dans certains états le numéro est aussi accompagné d'une phrase "emblème", par exemple pour l'Alaska : "The last Frontier" ou pour le Nevada 'The Silver State"...

En voici quelques exemplaires (souvent sur des Toyota, pour faire plaisir à Régis) :



Comme les nouvelles plaques en France, elles ne sont pas liées à la voiture, mais au conducteur.

Parfois, elles ne se trouvent qu'à l'arrière de la voiture. En Californie, il est autorisé de rouler sans plaque au moins 6 mois pour la première fois...

mercredi 29 septembre 2010

La rivière rouge

Jeudi 16 septembre - Le Grand Canyon

C'est aujourd'hui que les choses sérieuses vont commencer... On va voir le Grand Canyon ! Oui oui, on va voir le Grand Canyon !!!

Mais avant de partir, un bon petit déjeuner continental copieux nous attend dans le faux bateau à roue (oui, Anne, je sais, je ne parle que de manger...) avec oeufs brouillés, lard, fruits, pancakes... Danièle nous fait rire. Déjà, la veille on parlait de Georges Clooney à table et comme elle est célibataire, elle nous avait déjà prévenus qu'il serait pour elle si il venait dans l'hôtel. Donc, le sujet revient au petit déjeuner, et elle nous raconte que la veille elle avait eu un mot sur son oreiller, mais elle n'avait pas réussi à le déchiffrer :" ...amie". Elle a pensé qu'un admirateur secret lui avait écrit, mais qu'il l'appelait "Mamie" ! Avec Marie, on la rassure : c'est peut-être "Ma Mie". Mais plus tard, on a su que d'autres avaient eu le même bout de papier disant que la chambre avait été préparée par Jamie !

Nous repartons on the road again... Nous empruntons notamment la mythique Route 66. (Rappelez-vous, nous avons vu la fin de cette route à Santa Monica, à Los Angeles). Cette route n'existe plus, elle est remplacée par des tronçons d'autres routes, mais ce fut la première route goudronnée qui reliait l'est (Chicago) à l'ouest. Elle mesurait 4000 km !
Petit passage obligé par Seligman, où plusieurs magasins-café-musées en tout genres attendent les touristes. Notre guide est en cheville avec celui-là :



On y goûte un bon café expresso qui nous fait bien plaisir, car ici, en général, le café est du vrai jus de chaussette (du coup, j'ai arrêté d'en boire... ce sera du "what-else" ou rien ! ... Je ne pense pas que George fasse recette aux US avec son Nespresso ?)

Puis le paysage change. Le désert se remplit de fleurs jaunes :


Notre guide est intarissable. Il nous parle de tout en remontant aux calendes grecques pour nous expliquer pourquoi on pèse les camions quand on passe d'un état à un autre. Il est passionnant, mais il ouvre tellement de parenthèses que parfois on se perd et on en oublie le sujet de départ.

A un moment, on s'arrête pour recueillir une partie d'autre groupe de français dont le car est tombé en panne. Très dissipés au début, très critiques même vis à vis du discours de notre guide (qu'ils prenaient pour un prêcheur), je les trouvais plutôt gonflés alors qu'on les avait secourus... Mais, petit à petit, ils se sont tus, conquis, eux aussi, par la culture de Ned, cet américain sans accent, passionné par l'histoire des religions, des sociétés en tout genre, et qui sans relâche et sans interruption déroule tout son raisonnement.

Après le déjeuner (pas terrible, celui-ci, mais qui a la particularité de proposer un dessert en fonction de la nationalité des touristes. Nous, on a donc eu un dessert français : un brownie sans noisette... un gâteau au chocolat bien gras, quoi !), quand une partie du groupe part voir le Grand Canyon en hélicoptère, l'autre partie (nous) part visionner au cinéma IMAX d'à côté (une petite géode) l'histoire de la découverte du Grand Canyon.
C'était pas mal. C'est une reconstitution de la vie des hommes dans ces gorges du Colorado (qui signifie "rivière rouge" en espagnol, car ce fleuve charriait à l'époque beaucoup de sable rouge provenant de terres ferrugineuses). On y voit des indiens durant la période pré-colombienne, et comment a été fabriqué le plus ancien jouet retrouvé sur ce site. On revit la descente du fleuve par John Powell, vétéran de la guerre de sécession, avec son bras en moins.
C'est très beau, mais j'ai hâte de le voir en vrai ce grand Canyon ! Et en plus, certains travelings dans les gorges m'ont donné le mal de mer... Total, je suis plus chamboulée que ceux qui ont fait de l'hélico !

Le moment est arrivé, nous y sommes... Sur la corniche...

Et là...

Il n'y a pas de mot...



Si, si, on est allés au bord du Grand Canyon, c'est bien nous, ce n'est pas un rêve !


La promenade de 5 km se termine sur un ensemble de maisons, dont un bel hôtel tout en bois comme on aime, en rondins en bas, en madriers au premier étage et en bardeaux pour le toit...



Par contre, à l'intérieur, on aime moins...


Le voyage pourrait s'arrêter là, on en a pris plein les yeux...

(et plein mon iPhone:)





Allez, je vous laisse, j'ai un rêve à poursuivre...

mardi 28 septembre 2010

Le train sifflera trois fois

Mercredi 15 septembre : Los Angeles, Désert de Mojave (Calico - Laughlin)

Le guide nous emmène visiter le centre administratif de Los Angeles. (Il prononce "Los Angeuls")

En passant, nous longeons le stade des Lakers :

Pour les béotiens comme moi : les Lakers sont des célèbres basketeurs !

L'hôtel de ville, l'Opéra (dont Placido Domingo est le directeur), le théâtre et surtout le Walt Disney Concert hall qui a une architecture hors du commun tout en métal, splendide :




Puis, nous voici (enfin) partis pour le désert de Mojave (le guide prononce "Mohavie"), en montant à 1200 m d'altitude au dessus de Los Angeles. J'avais hâte de quitter cette ville pour les grands espaces !

Nous sommes d' excellents clients de la chaîne Sizzler. C'est dans un restaurant de cette marque que nous déjeunons comme hier midi (Chouette, il y a mon gloubi-boulga !). Dans tous les restos, les boissons non alcoolisées sont gratuites et à volonté.

Puis au milieu du désert, nous passons faire un tour dans la ville fantôme de Calico. Une ville minière reconstituée pour les touristes et les tournages de westerns.
J'ai beaucoup aimé la petite église-école comme dans La petite maison dans la prairie.


Et le train de la mine


Il fait 90 degrés farenheit maintenant ([90-32]: 1,8 = 32 degrés Celcius). Mais dans les petites boutiques attrape- touristes, il fait très bon : à notre grande surprise il y a la clim... Par contre, les spectateurs se font rares pour ce concert country en rocking-chairs:


Puis nous reprenons la route.

Nous longeons une voie ferrée où passent des trains d'une longueur incroyable. Nous avons compté plus de 80 wagons, et jusqu'à 5 locos !


Et nous croisons de très beaux camions :



Direction Laughling... Il fait maintenant 102 degrés farenheit([102-32]: 1,8 = 39 degrés Celcius)! Laughling est un échantillon de Las Vegas : des casinos, des hôtels très kitch.
Le nôtre a la forme d'un bateau à roue comme sur le Mississipi.


Nous sommes sur le bord du Colorado. Il fait si chaud que nous descendons à la piscine de l'hôtel mais ce n'est pas très agréable : la piscine est encaissée au milieu des immeubles, il n'y a donc plus de soleil, et toutes les clim de l'hôtel donnant sur cette cour intérieur il y a un bruit de perpétuel vrombissement sans compter l'air chaud projeté !

Le soir, nous goûtons un délicieux rosbeef tranché devant nous à la demande. Dans ce restaurant, les serveuses sont très âgées. Ici, elles aimeraient avoir la retraite à 62 voire 67 ans ! Il paraît qu'avec la crise des subprimes, nombreuses sont les personnes âgées qui ont tout perdu et doivent se remettre au travail.

Puis, nous allons au casino pour nous entraîner pour Las Végas.

Nous avons été frappés par les joueurs : des femmes souvent, des personnes âgées, handicapées... Tous appuyaient sur le même bouton, sans relâche, espérant obtenir un alignement de "7"... Certaines personnes étaient même attachées à leur machine, leur carte de crédit branchée, reliée à leur corps par un cordon. Addiction...
L'alcool coule à flot, l'athmosphère est enfumée, les haut-parleurs crachent un rythme assourdissant ne parvenant pas à masquer le bruit incessant des machines à sous.

J'ai misé 1 dollar et gagné 1,9 dollars. Sans comprendre comment !

Mais nous fuyons ce lieu étouffant pour une petite balade nocturne en amoureux le long de Colorado River. Nous y ferons une drôle de rencontre...

un raton laveur !

lundi 27 septembre 2010

Il était une fois dans l'Ouest

Lundi 13 septembre : Notre arrivée, la journée la plus longue

Après 11h30 d'avion, durant lesquelles j ai visualisé 5 films* (!) nous arrivons à notre hôtel vers 16 heures (soit 1h du mat, nous étions partis de la maison à 6h du mat).

Cet hôtel semble situé au fin fond de la banlieue de Los Angeles, tant il a fallu au le bus qui nous emmenait, prendre diverses autoroutes autour de zones pavillonnaires. Mais non, toute la ville est comme ça... Il n'y a pas vraiment de centre. Et là, sur la carte, nous sommes au centre du plan de Los Angeles. Dans une zone commerciale. Autour il n y a rien. Rien d'intéressant mis à part une 5 voies, un centre commercial TARGET - le Carrefour local - et un Ikea. Comme l'air est plutôt frais, la piscine de nous fait pas envie, alors nous faisons une petite sieste avant le dîner.
La chambre est très spacieuse, un peu comme celle de New York, avec deux grands lits, très hauts :

Ce type de chambre, nous le retrouverons dans la plupart des motels, avec parfois un seul lit, mais de 190 de large. Comme le dira notre guide, aux US, tout est calqué sur le même modèle : les toilettes, les chambres d'hôtel, il n'y a que les robinets qui fonctionnent tous différemment.


Au dîner : un buffet multicolore et hétéroclite composé de sushis, cuisine chinoise, fruits de mer, pizzas... Avec en desserts de jolis cubes de gelée multicolores (dont raffolera Yvon), des crèmes (dont un mélange de crème vanille, bananes et biscuits, un gloubi-boulga comme je les aime), des fruits frais épluchés. Très bon tout cela ! Mais comme on veut goûter à plein de choses, on mange trop...

(*) je vous ferai un petit topo de mes films préférés dans un prochain article

Mardi 14 septembre - Los Angeles

Après une nuit mouvementée (réveillés à 23h30 la première fois, puis très souvent ensuite... et surtout Balotin, qui a tellement gigoté que la prochaine fois il ira dormir dans l'autre lit tout seul, nan mais oh !) nous allons visiter Los Angeles.

Notre guide, Ned, est très sympa. Il nous a fait un peu peur au début, en se montrant intransigeant sur les horaires, mais c'est normal : il faut un minimum de discipline quand on est 40.

Ah oui, je ne vous ai pas raconté les circonstances de notre voyage : c'est un circuit organisé par mon CE. Nous sommes 40, il y a 18 couples et 4 dames voyageant seules. Je connais une quinzaine de personnes déjà...

Nous commençons par visiter Venice, la Venise reconstituée à L.A.. J ai beaucoup aimé la partie canaux. Avec ces jolies petites maisons hétéroclites, les petites barques, les ponts arrondis...




Ensuite, nous sommes allés voir l'océan pacifique. Pas facile à voir a cause du "fog" le fameux brouillard dû au choc thermique entre la chaleur de la terre et la fraîcheur de l'océan. Au fog s'ajoute parfois la pollution de l'air ce qui donne le "smog".
Nous avons mis les pieds dans l'océan dont la température s'élève parait il a 14 degrés Celcius. Mais cela ne nous a pas semble si glacial...

Vite, un voeu ! C'est la première fois que nous voyons le pacifique !

Sur la plage de Venice beach, il y a du sable très très doux, des mouettes, des surfeurs dans les vagues, des joggueurs sur les allées cimentées, des jolies cabanes bariolées tous les 100 mètres pour la sécurité, et des sdf...


Ensuite nous poursuivons jusqu'à Santa Monica où se termine (ou commence) la fameuse route 66.






Nous empruntons le Sunset boulevard.

Puis nous passons devant Beverly Hills et le quartier des milliardaires (Bel Air)

pour nous rendre à Hollywood. Ce célèbre quartier cinematesque était à l origine un quartier d'éleveurs de poulets.

Nous allons d' ailleurs déjeuner dans un coin plutôt populaire, avec des bicoques pas très entretenues, alors qu'on est à Hollywood ! Très bon buffet encore une fois, à dominante mexicaine (et de quoi se faire des burritos)... Avec un peu les même ingrédients que la veille, et les même desserts !

Puis nous montons vers la montagne de Santa Monica, en observant au passage la toute petite maison jaune ou est décédée Marylin Monroe :


Nous passons devant de très belles maisons, une végétation luxuriante où dominent les énormes magnolias, les bougainvillées et plein de plantes tropicales...

Nous arrivons à l observatoire d'où nous avons une superbe vue sur la ville et sur la colline où sont inscrites les fameuses lettres HOLLYWOOD destinées à l'origine à la vente de parcelles et non pour promouvoir le cinéma !



Puis nous redescendons sur Hollywood Boulevard où se trouvent les étoiles aux noms des acteurs ou chanteurs célèbres (ou pas) sur plus de 5 km !






C'est devant la pagode chinoise, salle de spectacle où on célébrait les Oscars jusqu'en 2004, que se trouvent les empreintes des mains, pieds et signatures des stars.



Le guide nous emmène ensuite a Beverly Hills, le quartier des riches où toutes les marques les plus luxueuses ont leur vitrine et notamment les françaises Louis Vuitton, Cartier, Dior et j'en passe...



Enfin nous allons au centre historique de la ville, là où tout a commencé, alors que les espagnols ayant évangélisé le Mexique ont poursuivi leur mission en remontant vers le nord...



Los Angeles tient son nom de la mission Sainte Marie des Anges. Ce centre historique a donc une orientation très mexicaine. Avant de nous rendre dans le resto mexicain, nous allons visiter la gare. Comme à New York, nous sommes frappés par la beauté de l'intérieur de cette gare : très beaux plafonds charpentés, des sols très brillants, en partie marbrés, de magnifiques fauteuil dans le hall, des jardins fleuris de part et d' autre...



A côté de cela, l'église Santa Maria de Los Angeles ressemblait paraît-il à une véritable cour des miracles !

Nous avons été très déçus par le dîner mexicain. Le cadre était pourtant très beau: ce devaient être des chais et le caractère authentique des lieux a été préservé, mais on nous a servi de la purée de de haricots rouges et autre viande bouillie à la louche comme à la cantine au début du 20ème siècle "splasch" !


dimanche 26 septembre 2010

Complétement à l'Ouest !

Ces derniers temps, si je ne vous ai pas donné beaucoup de nouvelles, c'est que nous étions en voyage.

Pour tromper l'ennemi, et vous garder fidèles au poste, j'avais programmé 2/3 articles... Mais pendant ce temps là, nous étions...



complètement à l'Ouest !



A l'ouest des Etats Unis, où nous avons fait le circuit classique : Los Angeles - Grand Canyon - Monument Valley - Lac Powell - Bryce Canyon - Las Vegas - Vallée de la Mort - le parc des Séquoias - San Franciso.



Bien sûr, comme vous me le réclamez, je vous prépare des comptes-rendus détaillés, comme pour New York (Aaaaah !). Tiens, si vous souhaitez relire ceux de New York, c'est ici.
Mais il faudra réagir en m'écrivant des commentaires (Oooooooh !)



En attendant, nous sommes encore un peu à l'ouest : la tête au soleil des déserts, le cerveau au ralenti, le corps tout entier qui essaye de recaler son horloge biologique sur le méridien de Paris et de se réchauffer malgré la chute des températures des degrés Farenheit vers les degrés Celsius !



Edit : On était tellement à l'ouest qu'on en a oublié l'anniversaire de notre petite Marie... J'espère qu'elle nous pardonnera !

lundi 20 septembre 2010

Ma cousine n'a peur de rien !

Ma cousine est folle...



Enfin, ce n'est pas ma cousine, c'est celle de Balotin...



Enfin, ce n'est pas sa cousine, c'est sa petite-cousine. La fille de sa cousine Germaine. Il y a une génération d'écart, mais pourtant, ils ont 1 mois de différence.



Je comprend mieux pourquoi elle a accepté de vivre 15 jours dans notre-maison-de-Corrèze-qu-on-n-a-pas-fini-de-meubler.



Elle n'a peur de rien...



La preuve ?



La voici

En plus, toute la famille y est passé : son mari, son fils, sa fille, son frère et son neveu !
Il n'est pas né celui qui arrivera à me convaincre de me jeter dans le vide suspendu par les pieds !

jeudi 16 septembre 2010

Gilles Détroit


Eh oui, Gilles Détroit a fait salle comble ce samedi 11 septembre 2010 dans notre village. Nous avons même dû refuser du monde, à notre plus grand regret !

Cet humoriste habitué des salles parisiennes nous a fait l'honneur de se produire chez nous par amitié pour notre trésorier.

Un humour caustique, qui joue beaucoup avec l'ambivalence des mots, se moque des relations homme-femme, et de notre société en général.

La salle n'a cessé de rire. Quand les rires se faisaient moins forts, l'humoriste s'interrompait en disant : "Je vais la retirer, celle-là", comme si nous étions ses cobayes. Et les rires reprennaient de plus belle. D'ailleurs, il aime jouer avec le public, qu'il fait allègrement participer.

Le temps est passé très vite. Les gens sont repartis heureux.

Merci encore à ce grand monsieur qui n'a pas eu peur de venir se perdre dans nos lointaines banlieues (avec sa Porsche)

dimanche 12 septembre 2010

La criminelle



Il y avait longtemps que je n'avais pas participé aux Défis de Virginie B...

Nous, pour animal de compagnie, nous avons opté pour un lapin nain... A cause des allergies de Choup et moi, nous ne pouvons pas avoir de chat ou de chien.

Après Flocon, que nous avons gardé plus de 7 ans, voici Clochette ! Rappelez-vous comme elle était mignonne quand on l'a offerte à Lulu...

Maintenant, elle a bien grossi.

Et elle a plein de surnoms :
- boule de poils
- machine à crottes
- regarde-comme-elle-est-crop-magnonne
- ma chérie
- la blonde
- la criminelle (ça c'est Choup... la pauvre se fait souvent mordre)


Bref, c'est une peluche qui occupe bien sa maîtresse !

mercredi 8 septembre 2010

Qu'est-ce qu'elle était belle...


Hier soir, j'ai regardé le film La Piscine.
Ce film est une ode à la beauté, à la jeunesse, à la sensualité.

S'il est réussi, c'est surtout grâce à ce que dégagent les acteurs...

Et Romy y est tout simplement magnifique.
Un corps parfait, bronzé, un joli minois, un regard du même bleu que la piscine. Un sourire aux dents blanches, bien alignées.
Son visage est d'une pureté... Vous connaissez beaucoup de femmes qui restent belles les cheveux plaqués en arrière ?

Alain Delon est très beau lui aussi. Mais malgré tout,Romy rayonne tellement qu'elle lui ferait presque de l'ombre !


Elle aurait 72 ans ajourd'hui. Quand elle est morte, elle avait mon âge.
Je me demande, si elle était restée en vie, aurait-elle succombé à la tentation de la chirurgie esthétique, comme la plupart des actrices aujourd'hui, malheureusement ?


Comme Marilyn, Romy restera une icône...
La beauté à l'état pur, mais aussi l'intelligence et la sensibilité exacerbées.

lundi 6 septembre 2010

Les joies de la vie associative...


Balotin a démissionné de la présidence de son association. La coupe était pleine : ses propositions étaient sans cesse critiquées (par une seule personne la plupart du temps), les consensus (quand il y en avait) perpétuellement remis en cause, les échanges de mails devenaient de vrais "pinaillages"... Bref, il a tout lâché ! A la grande surprise de son entourage (tous comptaient sur lui), il a abandonné le club aux mains du des contestataires.
Moi je pense qu'il a eu raison.

La vie associative est un véritable investissement personnel, qui peut devenir très chronophage. Et si la satisfaction qu'on en retire est effacée par les contraintes, ce n'est pas la peine de continuer...

A contrario, moi, je m'éclate dans mon association. Notre noyau dur est vraiment très sympathique et nous évoluons tous dans le même sens, dans le même but.
J'y ai trouvé ma place, dans la communication, vous vous en doutez bien ! Je créé ou j'aménage des affiches que nous imprimons et distribuons dans les boîtes aux lettre. Je diffuse des informations par courriel.
Pour la troisième année, j'ai réalisé un petit livret qui liste nos activités de façon attrayante.
Cette année, j'ai innové en créant le site internet de l'association. Je ne suis qu'une néophyte, j'apprends sur le tas, en discutant avec mes collègues (notamment avec ma petite stagiaire qui m'apprend beaucoup), mais mes amis de l'association m'encouragent. Ils ne sont pas difficiles et sont toujours satisfaits de ce que je leur propose.
Bon, tout n'est pas toujours rose : il arrive aussi que je reçoive des mails incendiaires si nous avons quelques loupés dans notre organisation, que je passe des soirées entières à retaper un fichier des adresses e-mails mal orthographié, ou que nous nous couchions très tard après un concert pour remettre la salle en ordre, enlever les chaises et les tapis... Mais la satisfaction d'avoir rendu service, d'avoir touché un maximum de monde, ou d'avoir réussi un événement tous ensemble est tellement forte, que ces petites corvées sont vite oubliées !
Et vous ? Vous connaissez les joies de la vie associative ?

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